Mobilier
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Face à la demande des consommateurs soucieux d’aménager leur extérieur, Castorama s’invite dans l’outdoor en multipliant les conseils pour inviter sa clientèle à bien choisir le style et les matériaux de son mobilier de jardin, selon les usages de chacun.
Du bois et de la toile
Le jardin suit la tendance déco intérieure, influencée par les matières naturelles, si bien que le bois s’invite en extérieur, pour insuffler une ambiance cosy. Un des meilleurs choix ? Le bois d’acacia, imputrescible et aux reflets dorés. Il résiste aux agressions extérieures et à l’humidité, et n’a pas besoin de traitement chimique pour le protéger des insectes ou des champignons. Une tache de graisse ? Une fois le bois légèrement poncé, elle disparaît. Enfin, l’acacia est aussi plus économique que le teck. Il est ainsi utilisé pour la réalisation de fauteuils, de canapés, de petites tables basses, en bancs et coffres de jardin, en supports de hamac…
Les matières brutes et tons neutres le mettent bien en valeur, particulièrement des accessoires tels des coussins, les parasols et les transats de toile écru. L’installation d’une jardinière elle aussi en acacia, complète le décor avec un véritable aménagement paysager.
Du rotin et un style vintage
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Autre matériau plébisicité dans les demandes, le rotin donne un petit air rétro aux salons de jardin. Difficile de retrouver le mobilier de jardin de nos grands-parents, mais aujourd’hui fauteuils et rocking-chairs en rotin sont présents dans tous les magasins.
Quand le rotin est considéré comme un peu cher, les demandes se tournent vers la résine tressée, qui offrira un « effet rotin » à petit prix.
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Le métal résiste encore
Si le bois et le rotin ont la cote, le métal tire toujours son épingle du jeu. Son atout : se décliner en différents coloris et styles. Le style bistro, dans des versions colorées (turquoise, jaune, rouge…) apporte du dynamisme à une terrasse. Si au contraire la discrétion est recherchée en les des meubles en métal dans un esprit « fer forgé », aux courbes rondes et coloris neutres (enanthracite ou vert par exemple), plus minimalistes et légers, sont de mise.
Aujourd’hui, pour les clients et les budgets différents, le choix reste très vaste chez Castorama. Tout est question de stratégie, entre le salon qui se fait oublier au profit du jardin, et celui qui devient le centre d’intérêt d’un aménagement extérieur.
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MUT Design est chargé de la conception de la « Das Haus 2020 » de l’IMM. Une occasion pour le fer de lance de la « new wave » du design espagnol de présenter sa vision de la maison du futur.
Après la Tchèque Lucie Koldova en 2018 et le duo australien Truly Truly en 2019, c’est au tour d’un trio d’exposer sa créativité dans le Hall 3. MUT Design, fort de ses productions à succès comme le Nautica ou les Twins Armchair, accepte volontiers le challenge. Les fondateurs du studio, Alberto Sánchez et Eduardo Villalón, rejoints ensuite par la designer hollandaise Alika Pola Knabe, veillent à traduire leurs émotions dans la scénographie de leurs créations design.La « Das Haus » sera une maison idéale, et non véritable. Inspirée par leurs passés et leurs vies dans la région de Valence, leur production s’ancrera dans l’architecture des maisons traditionnelles méditerranéennes. Car ils considèrent que le quotidien dans son ensemble doit être la source d’inspiration primaire d’un designer.
Le studio espagnol brise la notion d’intérieur et d’extérieur
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Les Espagnols chérissent un mode de vie « a la fresca ». Toute occasion est bonne pour manger, dormir ou rencontrer en dehors des murs de la maison. Ainsi, l’espace extérieur devient une extension de l’espace intérieur.
Le trio valencien pousse l’idée plus loin en supprimant la dualité intérieur-extérieur. Exit la structure classique. Les murs tombent, laissant apparaître les quatre pièces de leur projet, baignées de la lumière naturelle du soleil, et cloisonnant le patio au centre de la maison.
Puis il chamboule les présupposés. Les salles de socialisation deviennent intimes et inversement. Ainsi, la cuisine et la salle à manger propices aux échange deviennent des zones de repos, où l’individualité prime. La salle de bains, et la chambre à coucher se transforment en zones de partage et de vie.
MUT Design casse les codes dans le but de créer la confusion. Le studio souhaite donner une autre utilisation des objets afin d’inciter la réflexion des visiteurs sur l’usage de la maison. Ainsi, la salle de bains ne sera pas complétée par une baignoire ou une douche, comme à son habitude, mais par un hamac.
Une vitrine pour MUT Design
Rendez-vous incontournable de la scène du meuble européen, l’Imm de Cologne est l’occasion pour le studio de présenter son travail au plus grand nombre.
Les murs « encalados » de la maison, blanchis à la craie pour garder la fraîcheur et refléter la lumière comme en Espagne, accueilleront les deux produits qui ont révélé le studio au monde entier. La chaise suspendue Nautica et les Twins Armchair, chacune récompensée par le Red Dot Award, en 2014 et en 2017, trôneront dans deux des quatre salles de la « Das Haus ».
Le salon sera aussi l’occasion de dévoiler près de 10 nouveaux produits, estampillés MUT. Du mobilier créé spécifiquement pour la « Das Haus », qui aura un usage double, puisqu’il pourra être utilisé en intérieur et en extérieur.
À ces inédits se mêleront quelques produits accessoires issus du travail de jeunes designers étrangers.
Un studio qui se veut familial
Dérivé du catalan, MUT prend le sens de « Silence ! » en français et « Courage » en allemand, comme un mot d’ordre qui guide le trio. Devenu l’une des références du design européen, il assure un travail de qualité, fidèle à ses valeurs.
Près d’une décennie après sa création, le studio valencien est resté le même. Dès le début, Alberto Sánchez et Eduardo Villalón se sont entourés de quelques personnes de confiance, qui partagent leur vision créative.
Propulsé sur la scène internationale, le trio tient à maintenir son style de travail. Tout en visant des éditeurs et des clients d’un plus haut standing, il veut absolument continuer à se focaliser sur le plus important : l’ADN de leur design, à savoir un travail sur les matériaux naturels comme le verre soufflé, le bambou ou la céramique.

Les deux marques iconiques du design populaire fêtent leurs 90 ans. Prisu c’est fini mais pas tout à fait ! En fusionnant depuis 1997 avec Monoprix et les Galeries Lafayette, les deux marques ont réinventé le design au quotidien, et accessible. Un anniversaire marqué par une série de rééditions choisies.
[Lire la première partie de l’article]
Designers et décorateurs en vogue, artistes et créateurs de mode tendance… Ces talents créatifs français et internationaux reconnus ont collaboré avec Monoprix ces 20 dernières années. Pour imaginer dans l’esprit de la marque, des collections capsules, à des prix toujours abordables. On a aimé hier, les objets ou les pièces de petit mobilier, la vaisselle, les textiles, à s’offrir… On les redécouvre aujourd’hui, certains dans une couleur or pour les fêtes.
150 Objets et petit mobilier réédités pour la rétrospective Monoprix
A l’occasion des 90 ans des deux marques Prisunic et Monoprix, les 150 produits, objets, accessoires issus de ces collections capsules exceptionnelles sont réédités. Regard dans le rétro au travers d’une sélection pointue de 10 objets sélectionnés par la rédaction d’Intramuros.

Monoprix, Table basse dorée, design Ionna Vautrin, 2021.

Monoprix, Pichet, design Ionna Vautrin, 2019.

Monoprix, tabouret en métal Picolo, 2017/2020, création India Mahdavi.

Monoprix, tabouret Dièdre en métal et bois, Dutch Design, 2015.

Monoprix, tabouret Bouton en métal et bois, Dutch Design, 2015.

Monoprix, assiette à dessert Kiwi, Brésil, 2014.

Monoprix, assiette à dessert Banane, Brésil, 2014.

Monoprix, Lampe en métal, design Constance Guisset, 2017.

Monoprix, Pichet en céramique, DA/DA, 2017.

Monoprix, Assiette à dessert, Paola Navone, 2012.

Monoprix, Vase doré, création Ionna Vautrin, 2021.