La Cité du design fait sa rentrée avec deux expositions
Vue de l'exposition "simé grenn" de dach&zephir à la Cité du design © Pierre Grass

La Cité du design fait sa rentrée avec deux expositions

Depuis le 20 septembre, deux nouvelles expositions ont pris place au sein de la Cité du design. D’abord « simé grenn », troisième exposition du cycle Présent >< Futur consacrée cette fois au duo dach&zephir. La seconde, « LE DESIGN EN VOYAGE, Ceramic & Food Route » présente le fruit du travail du programme International Design Expeditions (IDE), sous le commissariat de Mathilde Bretillot, Pierangelo Caramia et Miska Miller-Lovegrove.

À quelques mois de l’inauguration de la Cité du design 2025, tous les regards sont tournés vers la cité stéphanoise qui pour sa rentrée 2024, présentait deux nouvelles expositions. « À travers ces manifestations, on veut retrouver une vision basique de ce qu’est le design. On parle beaucoup d’innovation, mais ce n’est pas uniquement par le biais de la technologique, c’est aussi par la recherche de formes et de matières » expliquait notamment le directeur de la cité du design, Eric Jourdan.

« simé grenn », une exposition sur le design créole

Après Laureline Galliot et Guillaume Bolet, le cycle Présent >< Futur lancé en septembre 2023 présente jusqu’au 5 janvier 2023 l’exposition « simé grenn » centrée sur le duo dach&zéphir composé de Florian Dach et Dimitri Zephir. Cette dernière donne à voir les réflexions et questionnements qui animent le duo depuis leur recherche Élòj kréyòl initiée en 2015 autour des histoires des Antilles. « Quand nous avons débuté nos recherches il y a bientôt 10 ans, le design créole n’était pas du tout évoqué. Nous avons donc voulu montrer ce qu’il était et prouver sa force, bien que situé à 8000 km de l’Hexagone » explique le duo. Au sein de leur processus de création, ils acceptent les idées de l’Autre, et les projets qu’ils mènent donnent forme aux paroles et histoires des communautés créoles. La scénographie de l’exposition reprend ainsi l’imaginaire d’une maison créole et alterne des points de vue intérieurs et extérieurs, où les différents objets, pièces de mobilier, textes, images-collages et vidéos exposées donnent à voir des manières d’être et de vivre inspirées des Antilles. « On avait envie de défendre le design, ses histoires et ses pratiques parfois oubliées » confient-ils.

Vue de l'exposition "simé grenn" de dach&zephir à la Cité du design © Pierre Grasset
Vue de l'exposition "simé grenn" de dach&zephir à la Cité du design © Pierre Grasset

Au sein de l’exposition, ils présentent 68 objets, dont 10 inédits. Parmi eux, le premier prototype des vases de la collection Péyi, produite dans le cadre de la commande publique du Centre national des arts plastiques (Cnap) intitulé « Créer un vase », sera  présenté en avant-première. dach&zéphir présente également un objet issu d’un partenariat créatif de trois à six mois invité avec une entreprise de la région. Pour « simé grenn », le duo s’est rapproché de l’entreprise stéphanoise Neyret, spécialisée dans la fabrication de rubans et d’accessoires textiles qui a été sélectionnée. Ensemble, ils ont mené un travail de recherche autour de tableaux tissés, textiles-images et objets-textiles qui conjuguent le savoir-faire de l’entreprise avec l’approche plastique et historique du duo.

Vue de l'exposition "simé grenn" de dach&zephir à la Cité du design © Pierre Grasset

« LE DESIGN EN VOYAGE, Ceramic & Food Route », l'exposition qui allie voyage et création

Jusqu’au 16 mars 2025, la plateforme « International Design Expeditions (IDE) » fait un arrêt de quelques mois à Saint-Etienne pour y présenter le fruit de ses recherches et expéditions menées aux quatre coins du monde depuis 2019. Une exposition rétrospective, qui présente l’histoire de différentes expéditions menées en Italie, en Pologne, au Cambodge, en Suède et en France. 150 objets en céramique nés de ces rencontres entre designers internationaux, cultures culinaires et artisanats locaux y sont présentés. « L’idée de ce programme, c’est de partir à la rencontre de lieux par le biais de la nourriture qui est un tremplin culturel qui permet de comprendre un territoire. On a parié sur la capacité des designers à être perméable à l’environnement autour d’eux pour laisser place à l’intuition » raconte Mathilde Bretillot. Un processus qui a donné naissance au terme de « Geo Design », défendu par Pierangelo Caramia. « L’idée est de représenter le monde dans lequel on vit et le territoire dans lequel on se trouve. Le design doit pouvoir devenir du Geo Design, en passant par l’écoute de l’autre, en détectant un lieu précis pour se rencontrer. »

Céramiques issues de collaborations entre designers internationaux, traditions culinaires et savoir-faire artisanaux locaux,présentées dans l'exposition "LE DESIGN EN VOYAGE : Ceramic & Food Route" © Pierre Grasset

Un programme de recherche et de création qui implique pour chaque voyage la participation de plusieurs artistes et designers, qui partent entre 3 et 6 semaines. On peut citer parmi eux Marta Bakowski, Goliath Dyevre ou encore Emmanuelle Roule. Pour chaque voyage, les designers invités sont accompagnés de Mathilde Bretillot, Pierangelo Caramia, mais également du designer culinaire Marc Bretillot. De ces voyages et rencontres sont nés des objets avec une symbolique et une histoire forte, dont certains sont ensuite édités et mis en vente à travers IDE Everyday d’une part, pour un développement à plus grande échelle et IDE Haute collaboration, destination à l’édition de pièces numérotées, en série limitée.

Céramiques issues de collaborations entre designers internationaux, traditions culinaires et savoir-faire artisanaux locaux,présentées dans l'exposition "LE DESIGN EN VOYAGE : Ceramic & Food Route" © Pierre Grasset

Une exposition riche de sens, étalée sur 600m2 et répartis en 5 pavillons - Italie, Cambodge, Pologne, France, Suède - présentés autour de la « Grande Table » qui expose les différents objets crées lors de ces expéditions. De quoi donner envie de passer à table, littéralement.

Rédigé par 
Maïa Pois

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1/9/2025
Une exposition inédite pour fêter les 40 ans d’Intramuros !

À l’occasion de ses 40 ans, Intramuros rouvre les portes de l’Intramuros Café Galerie pour une exposition exceptionnelle, à découvrir du 6 au 8 septembre lors du salon Who’s Next Home.

C’est à la Porte de Versailles, en parallèle de la première édition de Who’s Next Home, qu’Intramuros a choisi de présenter une sélection d’objets signés par de designers que le magazine souhaite accompagner et valoriser. Cette exposition sera non seulement l’occasion de découvrir le numéro anniversaire dédié aux 40 ans du magazine - qui a la particularité d’avoir Philippe Starck comme rédacteur en chef invité - mais aussi de (re)découvrir des pièces et objets emblématiques du design contemporain.

Une sélection pointue

Pour cette exposition exceptionnelle organisée sur le salon Who’s Next Home, l’équipe du magazine a oeuvré pour proposer une sélection offrant une vision du design qui soit la plus éclectique possible en faisant appel à des designers  français ou internationaux, dont la pratique reflète ce que peut être le design dans son sens le plus large. Ainsi, ils sont plus d’une trentaine à avoir répondu présent à l’appel d’Intramuros et seront mis l’honneur lors de ces trois jours d’exposition, à savoir : Athime de Crécy, Victoria Wilmotte, Julien Renault, Ludovic Roth, Leonard Kadid, Simone Bonanni, Benjamin Graindorge, Wendy Andreu, John Tree, Daniel Rybakken, Jean-Baptise Fastrez, Pierre Castignola, Zyva Studio, Florent Coirier, Martin Laforêt, Cluzel/Pluchon, Linde Freya Tangelder (Destroyers/Builders), Gregory Lacoua, Laurids Gallée, Jean-Baptiste Durand, Studio 5.5, Axel Chay, Guillaume Delvigne, BrichetZiegler, Maria Jeglinska- Adamczewska, Samuel Accoceberry, Marie et Alexandre, Panter&Tourron, Julie Richoz, Nicolas Verschaeve et Alessandro Stabile.

Cette sélection, à retrouver dans le numéro 225 spécial 40 ans, présente les talents d’aujourd’hui et de demain auxquels nous croyons. La galerie sera ouverte durant les trois jours du salon Who’s Next Home à Porte de Versailles au sein du Hall 1, de 9 h à 19 h le samedi et le dimanche et de 9h à 18h le lundi. Nous espérons vous voir nombreux pour partager ensemble ce moment et souffler les 40 bougies d’Intramuros !

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27/8/2025
Delcourt fête ses 30 ans !

La marque éponyme fondée par Christophe Delcourt fête ses 30 ans. L'occasion de revenir sur son évolution et son style.

Et avant le mobilier en bois, il y eut les planches. Aujourd'hui connu pour avoir créé sa marque éponyme, c'est dans l'univers du théâtre que Christophe Delcourt s'est d’abord familiarisé avec la création. Alternant entre comédien et décorateur scénographe pendant près de 10 ans, c'est en tant que spectateur que le déclic lui vient. « Je m'en souviens bien, c'était devant Le Récit de la servante Zerline, aux Bouffes-du-Nord, à Paris. Jeanne Moreau est arrivée sur scène, s'est assise à une table et a ouvert un torchon pour y éplucher une pomme durant une heure et demie. Ce jour-là, j'ai compris l'importance du mobilier et du lien entre les éléments. Il n'y avait pas seulement l'idée de décor, mais de véritablement apporter des choses à l'histoire. » À la suite de cette représentation, c'est un récit plus matérialiste que Christophe Delcourt décide d'écrire. Un nouvel horizon dans lequel il emporte avec lui l'art du storytelling et de la construction.

Table basse YOL et fauteuil YUG ©Francis Amiand

Des meubles réalisés à partir de rencontres

Sans expérience dans le monde du meuble, Christophe Delcourt présente ses premières créations en 1996 dans la section Talents à la carte du salon Maison&Objets. Le succès est au rendez-vous et il signe un accord pour 30 magasins Neiman Marcus - suivi d'un contrat avec la galerie internationale new-yorkaise Ralph Pucci sept ans après -. Un premier pas sur le marché outre-Atlantique dont il conserve l'importance du sur-mesure et de la diversification stylistique. Mais côté création, c'est l'association avec les frères suisses Waldisphul qui va véritablement lancer la phase de commercialisation en rentabilisant le processus de fabrication. « Jusqu'à cette rencontre, je faisais mes meubles seul. Je suis donc allé frapper à leur porte pour trouver le savoir-faire nécessaire. Eux étaient plutôt spécialisés dans la fabrication de portails en métal, mais comme moi, leur vision était technique, plus qu'esthétique. Nous nous sommes donc associés et ils m'ont beaucoup appris. » C'est dans cet atelier que le style de la maison s'affirme : « un univers sculptural avec une cohérence entre la matière et la forme. »

Bureau UTO  et commode à cinq tiroirs OST ©Francis Amiand

De la technique née la forme

Guidé par l'idée « de façonner les formes comme un plasticien », Christophe Delcourt collabore aujourd'hui avec une quarantaine d'ateliers spécialisés dans le verre, le bronze, le cuivre, la céramique, la lave ou encore le cuir. Des médiums régulièrement associés au bois, matériau au cœur de son travail de designer depuis trois décennies. « Il est à mes yeux le matériau premier. Il permet de construire des habitats et le mobilier utile pour vivre. On peut faire une table avec peu de moyens et c'est cette idée de faire beaucoup pour pas cher qui m'intéresse » explique Christophe Delcourt.

Inspiré en premier lieu par les contraintes de cette matière vivante, et dans un second temps par la combinaison des savoir-faire de ses collaborateurs, son processus est largement guidé par la technique. Intéressé par les modernistes Verner Panton ou Richard Serra, le designer s'amuse des courbes et des contre-courbes. « Une section de bois, la manière dont s'épousent les formes, l'équilibre du piétement, l'imbrication d'un dossier et d'une assise. Tout est matière et par là, tout est terreau d'expérimentation » résume-t-il.

Fauteuil ULI et chaise JAE ©Francis Amiand

La sobriété comme signature

Au-delà des matériaux, Delcourt se distingue aussi par sa sobriété. Si les formes ont évolué au fil des années passant du mono-matière droit, épuré et minimal de peur de sombrer dans le décoratif, à quelque chose de plus organique et libre, la marque restreint toujours la couleur dans ses collections. « Le bois est une matière qui touche à l'intemporel contrairement au synthétique. Le colorer c'est prendre le risque de le rattacher à une époque. Or, ma plus grosse angoisse c'est que l'on se lasse. Je préfère que la matière évolue avec le temps, à l'image des tables de Charlotte Perriand. »

Avec Time-Streched, la collection anniversaire, Christophe Delcourt confirme sa volonté d'un design construit sur le temps long et dépourvu d'effets de mode.

Table basse YOL, fauteuil YUG, commode OST à quatre tiroirs et paravent YOA ©Francis Amiand
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26/8/2025
Vestige Collection redonne vie aux vieilles pierres

Créé en Espagne, Vestige Collection transforme de vieilles bâtisses abandonnées en complexes hôteliers de prestige. Un pari facilité par la création d'un studio d'architecture intégré.

Redonner aux bâtiments leur grandeur d'antan. Lorsque l'aventure a commencé il y a une quinzaine d'années, l'idée de « collection » était encore lointaine. La sensibilité pour les vestiges, elle, était en revanche déjà bien présente dans l'esprit de Maria Obdulia Fernandez, co-fondatrice de Vestige Collection. Mais pour bien comprendre la genèse du groupe hôtelier, retour quelques années en arrière lorsqu'avec sa famille et elle se lancent dans la restauration un peu folle d'une immense bâtisse en plein cœur des Asturies. « Un projet passionnant » mené main dans la main avec Paco Ortega, un ami architecte de longue date. Une première collaboration qui fera rapidement émerger la volonté de faire naître d'autres projets. Vestige Collection est né, et avec elle « la volonté de préserver l'âme de bâtiments historiques tombés dans l'oubli » détaille Maria Obdulia Fernandez à la tête de 25 sites répartis à travers l'Espagne.

Le Palacio de Figueras situé dans les Asturies est la première résidence privée du groupe ©Vestige Collection

Un studio d'architecture intégré

Si la marque Vestige Collection se distingue par son offre de bâtiments anciens, elle se distingue également par son studio d'architecture intégré comptant 62 collaborateurs. Fondé en 2019 avec l'aide de Paco Ortega, celui-ci compte six départements allant de l'architecture au paysage, en passant par le design intérieur et l'administratif. « Une proximité rare entre la vision créative et la réalité opérationnelle » se réjouit Maria Obdulia Fernandez. Mais outre la facilité technique, « le studio facilite surtout le partage d'une vision globale, des ressources et des objectifs à long terme de l'entreprise. Cet alignement rationalise également la communication et la prise de décision, et rend notre processus de conception plus agile et plus intégré » explique Enrique Motilla Saiz, architecte en chef des projets à Minorque, dont l'équipe intervient dès lors qu'une acquisition potentielle entre en jeu. « Nous effectuons d'abord une "diligence raisonnable" pour chaque propriété, en examinant les permis, la portée du projet et les mesures de conservation en vigueur. Ensuite, lorsque la propriété est acquise, nous menons une étude plus approfondie et élaborons les grandes lignes du projet. » Une approche « holistique » de la conception sur laquelle se base le studio pour dégager les lignes directrices de chaque rénovation. « Nous commençons par analyser et définir l'histoire de chaque lieu. Connaître l'espace nous permet de réutiliser les méthodes de construction et le savoir-faire artisanal d'origine pour régénérer chaque propriété, mais également de valoriser les matériaux présents. » Une manière de convoquer à nouveau l'esprit originel de ces édifices tout en optimisant l'empreinte carbone de leurs rénovations. « Notre objectif est de respecter l'esprit de chaque bâtiment tout en l'adaptant aux normes environnementales et fonctionnelles actuelles » explique Enrique Motilla Saiz, estimant qu'il s'agit « avant tout d'un dialogue entre le passé et le présent. »

L'hôtel Son Vell à Minorque ©Vestige Collection

L'identité locale comme image de marque

« Il n'est pas question de rivaliser avec le contexte historique » mais au contraire de se servir de celui-ci « pour mener le récit » détaille l'architecte. Un esprit que Marta Delgado Moreno, en charge du design intérieur, identifie par les trois C : Calidad, Calor, Calma, traduisez qualité, chaleur et calme. Un style mûri quotidiennement dans l'esprit des sept architectes d'intérieur du groupe, à l'origine de meubles contemporains, d’œuvres d'art et d'antiquités. Mais si l'esprit est commun à toutes les propriétés du groupe, chaque bâtiment conserve en ses murs une identité propre. « Nous n'imposons pas une esthétique : nous la faisons ressortir » rappelle ainsi Maria Obdulia Fernandez. « Le client Vestige doit être surpris à chaque destination tout en reconnaissant une sensibilité esthétique commune. » Un défi d'autant plus important que Vestige Collection comprend aujourd'hui des projets très différents. Si la majorité des établissements fonctionnent comme des hôtels à l'image du château du XIIIe siècle en Estrémadure, ou du lodge en Namibie, d'autres comme le Palacio de Figueras dans les Asturies se réservent dans leur intégralité. « La forme et la disposition de chaque bâtiment déterminent dans une certaine mesure la manière dont nous le réaménageons. Cette construction a une superficie de près de 3 000 m², mais ne compte que 11 chambres. Nous ne voulions pas nous concentrer sur le profit en reconfigurant l'espace pour créer plus de chambres. Nous voulions conserver le caractère du bâtiment, ses anciennes salles de bal, sa salle de musique, ses cheminées d'origine... Mais pour d'autres propriétés, la disposition d'un bâtiment se prête à l'ajout de chambres supplémentaires et à la possibilité de le convertir en hôtel » détaille Maria Obdulia Fernandez. Une vision qui, « au-delà du technique consiste avant tout à trouver l'équilibre entre la poésie et l'émotionnel d'une part, et le fonctionnel d'autre part. »

Ci-dessous à gauche, l'intérieur du Palacio de Figueras dans les Asturies, et à droite l'intérieur du complexe Son Ermità & Binifudà ouvert à la mi-juin.

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26/7/2025
Concours Technogym x Intramuros : les Candidatures sont ouvertes !

En partenariat avec Intramuros, Technogym lance un concours pour imaginer l’avenir du fitness à domicile. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 4 septembre.

Sous le titre évocateur « La Home Gym du Futur », Technogym — marque reconnue pour ses équipements de fitness haut de gamme - lance un concours inédit. Cette initiative vise à mettre en valeur les talents émergents tout en encourageant des idées novatrices, durables et inclusives. En s’appuyant sur les besoins actuels en matière de pratique sportive et en anticipant les évolutions à venir, les participants sont invités à imaginer leur vision de l’entraînement à domicile de demain.

Un jury XXL pour cette première édition

Pour juger les différentes propositions des candidats au concours, les équipes d’Intramuros et de Technogym pourront compter sur l’expertise de 4 professionnels du secteur :

  • Le designer Patrick Jouin (studio Patrick Jouin iD)
  • Natacha Froger (agence atome associés)
  • L’architecte d’intérieur Ana Moussinet (Ana Moussinet Interiors)
  • L’architecte et designer Jean-Philippe Nuel (studio Jean-Philippe Nuel)

Après une délibération des membres du jury le 5 septembre prochain pour sélectionner les finalistes, les projets retenus seront mis en avant sur les réseaux sociaux et présentés au sein de la boutique Technogym pendant  Paris Design Week du 5 au 13 septembre.


Ce concours est l’opportunité pour les jeunes créateurs de faire valoir leur créativité et de gagner en visibilité. En effet, en plus de voir leur projet exposer pendant Paris Design Week, les finalistes pourront profiter de la communication via les canaux de Technogym, Intramuros, NDA et BED et pourront enrichir leur réseau lors de la remise des prix qui aura lieu le 17 septembre prochain. Le lauréat remportera 4 500 € de produits Technogym et vivra une expérience exclusive au Technogym Village à Cesena, en Émilie-Romagne (Italie), aux côtés du jury.

Une démarche d’inscription simple

Pour participer, les candidats devront proposer un brief complet avec un concept design, des planches graphiques et une note descriptive détaillée. Les dossiers devront être envoyés par email à l’adresse suivante : concourstechnogym@intramuros.fr

Tous les documents essentiels relatifs au concours sont disponible vie CE LIEN.

En cas de besoin et demandes spécifique, les candidats peuvent contacter le Technogym Interior Design Service, via Daniela D’Errico à l’adresse : dderrico@technogym.com ainsi que Yanis Aimetti, yaimetti@technogym.com pour le Technogym Marketing support & infos produit.

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